Coup de coeur de France Inter – Festival d’Avignon 2023

Quand Stanislas découvre à 15 ans qu’il est atteint d’un diabète insulino-dépendant, l’insouciance enfantine s’écroule face à l’évidence de la maladie. Le garçon joyeux qu’il était s’assombrit et s’isole. Une rencontre va bouleverser sa vie : Fleur. Avec sa personnalité libre et solaire, cette jeune femme lui fait découvrir la puissance de la poésie, capable de réenchanter une perception flétrie du réel, et de redonner un sens à l’existence face à la mort. Le spectacle est l’histoire de cette rencontre, de l’amitié qui s’ensuivit, du rebond vital qu’elle causa. 

Avec ce récit autobiographique plein d’élan, d’humour et de tendresse, Stanislas Roquette raconte le choc du diagnostic médical, et les lumières que nous offre, parfois, la vie en retour. “Insuline & Magnolia” est aussi l’histoire d’une initiation adolescente à la littérature, en l’occurrence le théâtre et la poésie classiques français.

Le texte du spectacle est publié chez Actes-Sud, dans la collection « Au singulier ».

Dans le cadre du Mois de la Francophonie.

When Stanislas discovered he had insulin-dependent diabetes at the age of 15, his carefree childhood was shattered by the evidence of the disease. The happy boy he had been became gloomy and isolated. Then he met Fleur, who turned his life upside down. With her free and sunny personality, this young woman introduces him to the power of poetry, capable of reviving a withered perception of reality and giving meaning to life in the face of death. The show is the story of this encounter, of the friendship that ensued and of the vital rebound that it triggered.

Stanislas Roquette’s autobiographical account is full of energy, humour and tenderness, recounting the shock of a medical diagnosis and the light that life can sometimes give us in return. Insuline & Magnolia is also the story of an adolescent’s initiation into literature, in this case classical French theatre and poetry.

The text of the show is published by Actes-Sud in the collection ‘Au singulier’.